Nom : Aélie

Race : Demi Elfe

- Surnom : Hellébore

- Description physique: Aélie est une jeune demi Elfe plutôt gironde. De petite taille et de corpulence assez frêle, elle a tiré un bon parti des attributs physiques de ses parents : La grâce et la délicatesse de son père Elfe, et les courbes félines de sa mère humaine. Un mélange somme toutes assez enchanteur. Un joli visage où se lit l’innocence, entouré de longs cheveux blonds indomptables viennent parfaire ce charmant ensemble. Ses vêtement répondent à ses exigences professionnelles, à savoir provocants, mais pas vulgaires (Elle sait ce qui fait marcher les hommes et en joue). D’apparence, elle se déplace comme une enfant, se jouant et s’étonnant de tout, mais peut en un clin d’œil retrouver une froideur et une détermination à faire pâlir un mercenaire.

- Caractère : Elle joue sur les apparences. Elle se montre comme une jeune fille provocante avec le brin d’insouciance qui la rend fragile et vulnérable. Mais quand elle exécute sa tâche, elle devient froide et implacable. Sérieuse et très professionnelle dans son travail, elle est tout autrement hors contexte. C’est une jeune fille passionnée et curieuse, un peu irréfléchie parfois. Comme si elle compensait les efforts faits pour exercer son métier à la perfection par un relâchement dans sa vie de tous les jours.

- Points forts : Connaissance des plantes, fabrication de remèdes et de poisons de base. Séduction et pratique sexuelle, maniement du Navaja pour assassiner uniquement.
- Points faibles : frêle, malade et dépendante de la belladone, aucune pratique du combat ni de la magie.

-Ses désirs : Gravir les echelons afin de ne plus avoir à faire le sale boulot, enseigner et former une nouvelle génération de « filles des Larmes ».

-Arme possédée et/ou technique de combat : La navaja empoisonnée, arme discrète qui ne s’utilise pas en combat direct, mais qui se faufile entre les côtes.

Passé

- Histoire du personnage :

Aélie est née dans la clandestinité d’un amour interdit, enfant de Faërnir Noweän et de Eline Lupes. L’histoire est simple : Faërnir Noweän, Elfique poète à la verve enchanteresse, vagabondait depuis ses terres glacées en quête des mythiques forêts de sable et de ses légendaires joutes oratoires. Sa route fut parsemée de quelques idylles, qui moururent au fur et à mesure que la route se dessinait devant ses pas, et de beaucoup d’évenements bien moins glorieux. Mais c’est en Utopia, à la croisée des mondes que sa quête pris fin, car il y rencontra Eline, une empoisonneuse de la guilde des « filles des larmes ». Celle-ci n’avait pas droit à l’amour, ni à un quelconque attachement. Et c’est bien le malheur qui les fit tous deux défier ces lois absolues.
Ils s’enfuirent ensemble et vécurent cachés dans la forêt de l’Utopia où rares sont ceux qui s’y aventurent. Pendant un temps, ils furent en paix, vivant avec le monde sauvage qui les entouraient et se gardant bien d’attirer sur eux les regards des sorcières fralee, et des créatures des bois quelles qu’elles soient.
De leur union naquirent d’abord Eïten et Amir, deux garçons jumeaux, puis Aélie une fille. Et cela dura trois ans ainsi, leur vie vacillant entre un bonheur fragile et la peur de le voir s’arrêter un jour.
Mais Les Filles des Larmes attendaient en silence le moment le plus crucial pour frapper. Et c’est Enduzo lui-même qui vint un soir à la rencontre de Eline. Il lui apparut alors qu’elle se rendait au Bassin des Sylves, comme chaque soir pour se laver. Au moment où elle était le plus vulnérable, nue au milieu du bassin, il se montra et prononça ces simples mots : « Ma fille, tue-les et revient nous avec ton enfant femelle », et il disparut.
De retour à leur hutte, elle relata la rencontre et ils organisèrent au plus vite le départ immédiat de Faërnir et des enfants. Elle, devrait rester et attendre, feignant de les avoir tous tués.
Le lendemain, Enduzo se présenta à la hutte accompagné de Aélie, seule. Eline regarda la mort arriver de la main de ses « sœurs », sans trembler. Sa dernière pensée fut pour son enfant qui allait certainement suivre la même voie qu’elle, au milieu des filles des larmes….
C’est ce qui bien sûr arriva.
Aélie, âgée de 1 an à peine à la mort de ses parents fut élevée au sein de la confrérie des Filles des Larmes, ignorant tout de ses origines et ne s’en souciant pas. Eduquée selon les préceptes strictes de l’organisation, elle est aujourd’hui une belle jeune fille,
débutant sa carrière proprement dite aux sein de la guilde et appliquant à la lettre les règles propres aux Filles des Larmes.
C'est en s'initiant à la fabrication des poisons qu'elle s'injecta elle même par mégarde une dose de venin. Pour la soignée et éviter sa mort certaine, ses "soeurs" durent employer un remède fait lui aussi de poison, de Belladonne. Depuis sa guérison, Aélie est dépendante au mélange adoucis de poison.

Les Filles des Larmes

Les filles des Larmes est une organisation criminelle regroupant uniquement des femmes. C’est une organisation de tueurs à gage, que l’on sollicite de partout dans le monde afin de faire un travail discret et soigneux. L’arme principale utilisée par l’organisation est le poison sous toutes ses formes. On envoie des filles, en général sous couvert de distractions sexuelles, et elles font leurs offices, de manière plus ou moins radicale, selon l’effet souhaité par le client. Cette organisation basée à Utopia, est sous le couvert de la Guilde des Verminars desquels elles tirent leurs ordres.Leur façon de travailler est toutefois trés différente des Verminars eux mêmes puisque qu'elles travaillent sur la séduction de leurs victimes pour mieux les empoisonner.

L’organisation :

Enduzo est le seul homme de l’affaire, et le plus important, puisque c’est le « père » de toutes les filles, notable de la guilde des Verminars ( il a rang de "second"). Il veille au respect des règles de la part de toutes, et gère les relations aux clients spéciaux.
En dessous de lui, il y a les formatrices, celles qui ont accumulées suffisement de travail pour avoir l’honneur de former les nouvelles.
En dessous, il y a celles qui sont trop âgées pour exercer et qui ont choisi de passer leur retraite dans l’organisation, plutôt que de s’évanouir dans la nature. Elles s’occupent de toute l’intendance, la gestion financière, et de gérer les missions des filles. En dessous, il y a les exécutrices. Ce sont le fer de lance de l’organisation. Elles sont là pour obéir et faire leur travail, en échange de bons soins. Elle travaillent aussi bien dans les tavernes qu’en empoisonneuses. A ce jour, on en compte 27.
Enfin, il y a les apprenties. Celles qui sont trop jeunes pour travailler, mais qui sont en constant apprentissage.

La formation :

Les filles sont recrutées dès le plus jeune âge, alors que l’éducation en est à ses prémices. A partir de trois ans, c’est déjà trop tard. Elles sont triées selon des critères strictes.
Elles passent toute leur enfance à étudier les plantes, l’anatomie, la manipulation, le maniement du Navaja. Elles sont conditionnées selon des critères particuliers, on leur apprend que donner la mort n’est pas un mal, et on ne leur offre pas d’autre choix de vie que celui de l’organisation. « Chacun a sa place, et la votre est ici. Les autres qui peuplent ce monde ne sont que des interactions avec votre vie, et eux aussi ont leur rôle à tenir. Si c’est celui de mourir, et bien ce n’est pas à nous d’en décider autrement… »
A l’âge de 18 ans, elles passent le rituel de passage à l’âge adulte, où elles perdent leur virginité et commencent l’enseignement de la séduction et des pratiques sexuelles. Car si leur première arme est le poison, leur deuxième est la séduction et le pouvoir de mettre un homme à genoux…
Tout au long de leur formation, elles sont surveillées physiquement. Si l’une d’elle vient à devenir laide à l’adolescence ou à la suite d’un accident, elle disparaîtra…
Tout au long de la formation, elles n’ont pas le droit de sortir sans être accompagnées.
A la fin de la formation, un surnom leur est donné

Les règles et lois :

Les lois (pour les filles) :
• Exécuter les ordres.
• Ne jamais remettre en question le jugement de la personne au dessus de toi.
• Ne jamais s’attacher à quelqu’un
• Ne jamais parler de l’organisation, même sous la torture
• Ne jamais se servir de ce que l’on a appris à des fins personnelles.



- Lieu de résidence : Diverses endroits du marché, des tentes auberges et des estaminets à Utopia et à la foire aux gobelins

- La Cité choisi : Utopia

- Informations supplémentaires
Pendant sa formation, Aélie a eu un accident avec une plante très toxique, qui a pénétré son organisme en profondeur. Une de ses sœur lui a concocté de justesse un antidote à base de Belladone, une autre plante toxique. Aujourd’hui, non seulement elle n’est pas complètement guerrie, mais elle est devenue dépendante à l’antidote qu’elle prend régulièrement. Jusqu’à aujourd’hui, elle n’en a jamais manqué…

- Les amis : (potentiels) Toutes ses soeurs

- Les ennemis : Beaucoup

Alvorom a écrit : PJ validé accés au monde donnée